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A la recherche du temps perdu. |
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A la recherche du temps perdu., 3. Le côté de Guermantes / Marcel Proust
Collection Title: A la recherche du temps perdu., 3 Title : Le côté de Guermantes Material Type: printed text Authors: Marcel Proust (1871-1922), Author ; Jean-Yves Tadié (1936-....), Editor Edition statement: [Nouv. éd.] Publisher: [Paris] : Gallimard Publication Date: 1992 Other publisher: 18-Saint-Amand-Montrond : Impr. SEPC Series: A la recherche du temps perdu. No. 3 Uniform Titles: Le côté de Guermantes : français Pagination: 546 p. Size: 21 cm ISBN (or other code): 978-2-07-072637-0 Price: 140 F Languages : French (fre) Class number: 843.9 Abstract: «- Monsieur, je vous jure que je n'ai rien dit qui pût vous offenser.- Et qui vous dit que j'en suis offensé, s'écria M. de Charlus avec fureur en se redressant violemment sur la chaise longue où il était resté jusque-là immobile, cependant que, tandis que se crispaient les blêmes serpents écumeux de sa face, sa voix devenait tour à tour aiguë et grave comme une tempête assourdissante et déchaînée... Pensez-vous qu'il soit à votre portée de m'offenser ' Vous ne savez donc pas à qui vous parlez ' Croyez-vous que la salive envenimée de cinq cents petits bonshommes de vos amis, juchés les uns sur les autres, arriverait à baver seulement jusqu'à mes augustes orteils '» A la recherche du temps perdu., 3. Le côté de Guermantes [printed text] / Marcel Proust (1871-1922), Author ; Jean-Yves Tadié (1936-....), Editor . - [Nouv. éd.] . - [Paris] : Gallimard : 18-Saint-Amand-Montrond : Impr. SEPC, 1992 . - 546 p. ; 21 cm. - (A la recherche du temps perdu.; 3) .
ISBN : 978-2-07-072637-0 : 140 F
Work : Le côté de Guermantes : français
Languages : French (fre)
Class number: 843.9 Abstract: «- Monsieur, je vous jure que je n'ai rien dit qui pût vous offenser.- Et qui vous dit que j'en suis offensé, s'écria M. de Charlus avec fureur en se redressant violemment sur la chaise longue où il était resté jusque-là immobile, cependant que, tandis que se crispaient les blêmes serpents écumeux de sa face, sa voix devenait tour à tour aiguë et grave comme une tempête assourdissante et déchaînée... Pensez-vous qu'il soit à votre portée de m'offenser ' Vous ne savez donc pas à qui vous parlez ' Croyez-vous que la salive envenimée de cinq cents petits bonshommes de vos amis, juchés les uns sur les autres, arriverait à baver seulement jusqu'à mes augustes orteils '» Copies
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